Espaces productifs interstitiels
Ils regroupent des micro-projets de jardinage d’initiatives citoyennes dans les espaces publics, les espaces des particuliers (balcons, cours de copropriétés, murs, toitures) ou encore dans les espaces des entreprises.
Jardins collectifs ou partagés
Jardinés par des collectifs d’habitants ou des associations qui s’organisent pour produire des denrées alimentaires et d’autres végétaux, dans des espaces publics (places, squares, parcs) ou privés (en pied d’immeuble, sur les toits). Les productions peuvent être données,partagées ou auto-consommées.
Micro-fermes urbaines
Ce sont des fermes urbaines participatives, offrant une diversité d’activités et demandant une part importante de bénévolat dans leur fonctionnement. Situées en milieu urbain, elles mettent sur le marché des denrées alimentaires qu’elles produisent, et une partie des productions peut être auto-consommée selon leur capacité de production.
Fermes urbaines spécialisées
Entreprises agricoles du milieu urbain dont l’activité principale est agricole (70 % du chiffre d’affaires), elles développent principalement des procédés high techde production. Des exploitations hors-sol mobilisant peu de foncier : en hydroponie, en aquaponie, sur substrat ; des fermes indoor (dans des bâtiments, dans des containers), des fermes verticales, des serres sur les toits.
Fermes maraîchères périurbaines
Exploitations agricoles produisant des denrées alimentaires. Elles demandent entre 1,5 et 10 hectares selon la période de production et les espèces cultivées.
À découvrir
Retrouvez sur le site du Cerema (centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement), de courtes vidéos précisant, pour chaque type de projet, les différentes fonctions rendues.
Photo : ICF Habitat La Sablière et Cycloponics